La première de l’année est la Journée du domaine public, une journée destinée à attirer l’attention sur les questions de droit d’auteur et du domaine public. Au Centre d’étude du domaine public, une revue intéressante (et qui donne à réfléchir) d’œuvres qui habitude entrer dans le domaine public cette année.
Les lois sur le droit d'auteur, dans leur incarnation d'origine, avaient pour objectif de protéger brièvement la propriété intellectuelle suffisamment longtemps pour permettre à l'auteur original de tirer profit du travail et se soutenir pour en faire plus. Au fil du temps, les lois sur le droit d'auteur ont été révisées et la fenêtre des droits d'auteur a été étendue (souvent appelée plaisamment l'effet Disney, les modifications majeures ayant lieu à peu près au moment où Mickey Mouse est sur le point d'entrer dans le domaine public).
Alors qu'est-ce que cela signifie pour vous? Cela signifie que des œuvres culturelles complètes: films, musique, émissions de télévision et même logiciels et autres créations numériques, sont effectivement retirées du pool culturel. Ils sont enfermés dans des coffres d’entreprises ou sont complètement orphelins et ne peuvent plus être remis en circulation. Voici quelques-unes des œuvres qui seraient entrées dans le domaine public cette année:
- The first two volumes of J.R.R. Tolkien’s Lord of Rings trilogy: The Fellowship of the Ring and The Two Towers
- Samuel Beckett’s Waiting for Godot (his own translation/adaptation of the original version in French, En attendant Godot, published in 1952)
- Kingsley Amis’ Lucky Jim
- Aldous Huxley’s The Doors of Perception
- Dr. Seuss’ Horton Hears a Who!
Consultez l'article complet sur le lien ci-dessous pour un regard réfléchi sur le droit d'auteur et sur ce que cela signifie lorsque des œuvres sont liées au lieu d'être libérées dans la sphère publique.
QuoiPourrait Avez-vous été entrer dans le domaine public le 1er janvier 2011? [Centre d’étude du domaine public via O’Reilly Radar]